une histoire de marins…
Cette famille de marins, du quartier du passage des Sables d’Olonne, se nourrit et se soigne ancestralement, avec les algues des mers et des océans qu’elle sillonne. Absolument tournée vers la vie en mer et les ressources marines, l’éducation de la fondatrice de Mon Miracle, tourne beaucoup autour des profondeurs littorales, des courants, des vents, de la température de l’eau, de la salinité, des marées, de la répartition des mammifères marins, de la distribution verticale et de la protection des biotopes fragiles, indispensables à la chaîne alimentaire.
L’eau de mer dans les veines
Très disciplinée à l’école, elle fait tout pour assimiler les sujets rapidement et partir en mer. Toujours volontaire pour aider ses oncles et cousins à relever les casiers de pêche, elle surfe et fait de l’apnée avec les moyens du bord avec beaucoup de courage, été comme hiver. Elle a de l’eau de mer qui coule dans les veines.
C’est son arrière-grand-mère qui lui apprend à être une femme forte, libre et respectée parmis les marins embarqués dans les missions longues et souvent risquées. À peine plus haute que la barre du bateau pilote, elle monte à bord des paquebots de commerce et s’affirme en aidant à la manœuvre. Toujours pleine de bleus et de blessures, c’est son arrière-grand-mère, qui lui a transmis les secrètes recettes médicinales ancestrales de la famille, à base de varech et de goémon. Dès que l’adolescente faisait la découverte de nouvelles algues, de nouvelles combinaisons améliorant la cicatrisation, la protection solaire et autre, elle s’empresse de retrouver son arrière-grand-mère pour lui en faire part.

Ces connaissances en phycologie, en guérisons et en soins marins se développent en même temps qu’elle grandit et prend une part incommensurable dans sa vie, le jour où son modèle rejoint les étoiles. Travailleuse, elle est autonome en tous points et prend son absolue indépendance à 16 ans. Tout en poursuivant ses études, elle accumule les boulots, et investie dans ses équipements, elle est déterminée à devenir une experte des interventions sous-marines, malgré une profession fermée aux femmes, elle s’entraîne comme une acharnée et réussit à intégrer les plongeurs d’élite de la Marine Nationale.
Grâce à l’armée, elle obtient des revenus fixes et commence à investir dans ses bases vie, qu’elle met en location lorsqu’elle est en mission. Affectée sur la Frégate de défense antiaérienne et anti-sous-marine Forbin, elle est déployée sur des théâtres de guerre entre 2009 et 2013 et l’État Major lui remettra plusieurs Titres de reconnaissances de la Nation. Elle quittera l’armée avec les honneurs et deviendra plongeuse scaphandrière.
Elle se fait très rapidement remarquée par les majors du BTP à travers ses conseils pour modifier les façons de construire sous la mer et développe pour eux des protocoles visant à préserver les fonds marins. Son laboratoire d’essais en phycologie, basé dans sa maison de campagne, a grandi au gré de ses rencontres, ami(e)s, collègues et 40000 followers sur Instagram qui lui demandent d’envoyer ses soins par colis.
C’est en 2021, après une trop forte demande, qu’elle décide d’investir et de fonder sa marque de cosmétiques. Elle vend une partie de son patrimoine acquis au cours de sa carrière, pour s’associer à un prestigieux laboratoire de cosmétologie, expert dans les formulations spécifiques marines, afin de développer et produire les recettes de ses ancêtres, en conformité avec la réglementation de la mise sur le marché des produits cosmétiques français.

Vertueuses et même miraculeuses, les algues ont des propriétés extraordinaires sur nos cellules : Alliées de notre épiderme, boosters de peaux fatiguées, purifiantes, hydratantes et protectrices des rayons UV, elles sont le berceau de notre vie et parce que les algues sont comme les végétaux terrestres, un maillon vital de l’écologie mondiale.
La marque Mon Miracle participe au seul groupe de travail où sont réunis les plus grands acteurs et les meilleurs scientifiques et chercheurs du monde maritime, afin de mesurer nos impacts et surtout protéger notre berceau en respectant sa biodiversité naturelle.